La reprise, telle que pratiquée dans le jazz pour les standards, d’une partie du scénario de Eyes wide shut de Stanley Kubrick dans une version où la perversion serait la plus courante, celles des musiciens ayant accepté un cachet pour jouer dans une soirée privée. Les artistes préfèrent d’autres situations pour offrir leurs performances, ils savent toutefois que les circonstances imposent certains compromis. Rien d’extraordinaire dans cette soirée huppée si l’on excepte la conscience des interprètes disponibles à un répertoire plus exigeant.
Gilles Grand