« Outre la métaphore du rapport sexuel (obligatoire et laid) que la tolérance du pouvoir de consommation nous fait vivre en ce moment, tout le sexe qu’il y a dans Salò (il y en a une quantité énorme) est aussi la métaphore du rapport du pouvoir avec ceux qui lui sont soumis. »
Pasolini adapte Sade dans la République fasciste de Salò, qu’il a lui-même connue. Quatre seigneurs enferment huit hommes et huit femmes dans une villa où ils les forcent à vivre selon le règlement pervers qu’ils ont inventé.
Jean-Pierre Rehm