« Je tenais beaucoup à tourner ce document. Il s’agira peut-être d’une déformation professionnelle, mais les problèmes de Sana’a, je les ressentais comme mes problèmes. La dégradation qui, comme une lèpre, est en train de l’envahir, me blessait avec une douleur, une rage, un sentiment d’impuissance et en même temps un désir fébrile de faire quelque chose par lequel j’ai été péremptoirement contraint à filmer. »
Pasolini réalise ce documentaire sur la capitale du Yémen pour qu’en soit sauvé le patrimoine architectural.
« Je tenais beaucoup à tourner ce document. Il s’agira peut-être
d’une déformation professionnelle, mais les problèmes de Sana’a, je les
ressentais comme mes problèmes. La dégradation qui, comme une lèpre,
est en train de l’envahir, me blessait avec une douleur, une rage, un
sentiment d’impuissance et en même temps un désir fébrile de faire
quelque chose par lequel j’ai été péremptoirement contraint à filmer. »
“I was eager to film this subject. It may be some sort of professional
deviation but I felt deeply affected by Sanaa’s problems as if they were my
own. The increasing dilapidation, like a plague running through it hurt
me with such pain, rage, feelings of impotence and at the same time an
itching desire to do something that prompted me to start filming.”
Pasolini réalise ce documentaire sur la capitale du Yémen pour qu’en soit
sauvé le patrimoine architectural.
Pasolini shot this documentary about the Yemen capital in order to rescue
its architectural heritage.
Version originale : Italien. Sous-titres : Français. Distribution : Cinecitta Luce.