« Ces coiffures, ces façons de marcher, ces pas de danse, ces gestes, ces tatouages sur les visages sont tous signes d’un antique monde magique. »
C’est avec sa caméra que Pasolini prend des notes, alors qu’il est en repérages en Afrique pour y tourner une adaptation de l’Orestie d’Eschyle. L’enquête continue ensuite à Rome, où il interroge des étudiants africains sur les images qu’il a recueillies.