Programmation 2023

La section Autres Joyaux rassemble des films restaurés et des coups de cœur présentés en première mondiale ou découverts dans d’autres festivals.

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ARTISTES EN ZONE TROUBLÉS

Stéphane Gérard,

Lionel Soukaz

France / 2023 / 39’

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AS FILHAS DO FOGO

THE DAUGHTERS OF FIRE

Pedro Costa

Portugal / 2023 / 8’

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BRÛLER POUR BRILLER

BURN TO SHINE

Patricia Allio

France / 2023 / 81’

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DIARIES

Ed Pincus

États-Unis / 1982 / 200’

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DIVLJE CVIJECE

WILD FLOWERS

Karla Crnčević

Croatie, Espagne / 2022 / 11’

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FILM ANNONCE DU FILM QUI N’EXISTERA JAMAIS: « DRÔLES DE GUERRES »

TRAILER OF THE FILM THAT WILL NEVER EXIST : "PHONY WARS"

Jean-Luc Godard

France, Suisse / 2023 / 20’

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HOW I BECAME A COMMUNIST

Declan Clarke

Irlande, Allemagne / 2023 / 55’

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MAN IN BLACK

Wang Bing

France, États-Unis, Royaume-Uni / 2023 / 60’

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MEIN SATZ

MY SENTENCE

Amina Handke

Autriche / 2022 / 85’

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PERSONNE N’ÉTAIT SYMPA

NOBODY WAS COOL

Hélèna Villovitch,

David TV

France / 2023 / 14’

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POINT VIRGULE

SEMICOLON

Claire Doyon

France / 2023 / 11’

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STUDY THE STARS TONIGHT

TUTKITTAVA TÄHTIÄ TÄNÄ ILTANA

Vieno Järventausta,

Lauri Julkunen,

Ida Vesterinen

Finlande / 2023 / 58’

RÉTROSPECTIVE & CARTE BLANCHE À WHIT STILLMAN
ULTRA HAUTE COMÉDIE

En cinq films, de Metropolitan (1990) à Love & Friendship (2015), Whit Stillman s’est imposé comme le prince de la comédie américaine contemporaine. Or la comédie est bien connue comme étant l’un des genres les plus difficiles au cinéma. Stillman y excelle en pariant sur l’élégance, sur l’intelligence, sur l’amour de ses personnages et non sur leur dérision. Le génie de Stillman est celui de dialogues d’un brillant et d’une vivacité sans pareille ; celui d’une mise en scène sobre et ciselée, tout entière tournée vers la vie des personnages et la vitesse de leurs pensées, la subtilité de leurs émotions. C’est aussi, à l’âge de l’inflation des budgets et des écritures boursouflées, un éloge de l’économie, de la sobriété et de la vitesse qu’elles autorisent. Devant un film de Stillman, on croit voir Audrey Hepburn, Cary Grant et James Stewart ressusciter l’âge d’or hollywoodien pour réenchanter notre monde, y projeter un peu de leur élégance et de leur impertinence. Assumer un héritage (la comédie sophistiquée hollywoodienne des années 1930-40) non pour le copier, le reproduire, mais pour y trouver des puissances d’interprétation très personnelles d’un genre cinématographique. Tenir ensemble l’ancien et le nouveau.
Le cinéma de Whit Stillman, c’est à la fois une esthétique, une éthique et une politique peu communes, que partage le FIDMarseille. Nous sommes très heureux.ses de présenter la première rétrospective intégrale de son œuvre et en sa présence.

À l’occasion de cette rétrospective, le FIDMarseille publie un ouvrage collectif, le premier en français consacré à son œuvre, en coédition avec Les éditions de l’œil.

WHIT STILLMAN.
L’ANCIEN EST LE NOUVEAU.
Sous la direction de Cyril Neyrat, 192 p.
(À paraître)

Avec des écrits de Whit Stillman, des essais de Nick Pinkerton, Serge Bozon, Charlotte Garson, Félix Rehm, Beatrice Loayza, un ensemble de documents présenté par Haden Guest (Harvard Film Archive), et un long entretien avec le cinéaste parcourant l’ensemble de son oeuvre.

L’édition anglaise du livre, Whit Stillman. Not so long ago, est publiée chez Fireflies Press.


Cliquez ici pour télécharger le dossier de presse.

RÉTROSPECTIVE

  • Rétrospective Whit Stillman
  • Rétrospective Whit Stillman

BARCELONA

Whit Stillman

États-Unis / 1994 / 101'

  • Rétrospective Whit Stillman
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DAMSELS IN DISTRESS

Whit Stillman

États-Unis / 2011 / 99'

  • Rétrospective Whit Stillman
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LOVE AND FRIENDSHIP

Whit Stillman

Irlande, France, Pays-Bas / 2016 / 92'

  • Rétrospective Whit Stillman
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METROPOLITAN

Whit Stillman

États-Unis / 1990 / 98'

  • Rétrospective Whit Stillman
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THE LAST DAYS OF DISCO

Whit Stillman

États-Unis / 1998 / 113'

CARTE BLANCHE

  • Carte blanche Whit Stillman
  • Carte blanche Whit Stillman

JEUNE ET INNOCENT

YOUNG AND INNOCENT

Alfred Hitchcock

Royaume-Uni / 1937 / 80'

  • Carte blanche Whit Stillman
  • Carte blanche Whit Stillman

LE CONVOI DES BRAVES

WAGON MASTER

John Ford

États-Unis / 1950 / 86'

  • Carte blanche Whit Stillman
  • Carte blanche Whit Stillman

LE DANSEUR DU DESSUS

TOP HAT

Mark Sandrich

États-Unis / 1935 / 101’

MASTERCLASS

7 juillet à 16h00- CINÉMA ARTPLEXE 1

Après Isabelle Huppert, Roger Corman, Wang Bing, Angela Schanelec, Apichatpong Weerasethakul, Albert Serra, entre autres, c’est au tour de Whit Stillman de se prêter au jeu de la masterclass du FIDMarseille.1h30 de conversation pour une visite guidée dans la fabrique de ses comédies sophistiquées. La masterclass sera introduite par la projection d’un film-surprise.

RÉSERVATION EN LIGNE

FOCUS SUR LAURE PROUVOST
HEAR HERE HERSTORIES

Laure Prouvost est une artiste internationalement reconnue, lauréate du prestigieux Turner Prize en 2013 et artiste invitée au Pavillon français de la biennale de Venise 2019.

Depuis les années 2000, elle nourrit son travail avec gourmandise de son quotidien d’artiste, de femme, de mère, qu’elle absorbe, digère, transforme et restitue sous toutes les formes propices à traduire son imaginaire fantasque : installations, sculptures, performances, qu’elle combine avec audace. Matières et formes innervées en leur coeur par l’image en mouvement.

Impressions fugitives, carnets de notes, capsules, traits d’esprit ou mises en scènes fantasmagoriques, elle s’empare dans ses films brefs et intenses de la grammaire cinématographique (montage, son, sous-titres, cartons, voix off…) de façon atypique et souvent espiègle.
Dans ses jeux avec l’image, la fable, et les narrations autour de la féminité, de l’écologie, ou bien de l’histoire de l’art, les fleurs suaves finissent par être agressives ou alors leur parfum étourdir (For four see beauties), ou le plus sucré des fruits peut très vite se gâter, et la sensualité la plus capiteuse peut osciller entre douceur inquiétude (Burrow me, Bruegel Girls).

Laure Prouvost aime aussi jouer avec le mots. Longtemps expatriée à Londres, elle a gardé du frottement des langues le goût pour le malentendu et le glissement de sens (Dit Learn, They parlaient idéale, OWT). Les frontières entre réel et fiction s’estompent. Elle fait de l’autofiction un terrain d’invention poétique qui manifeste l’instabilité du monde et ouvre à des généalogies fabuleuses, et choisies – un grand-père artiste conceptuel méconnu (Wantee) ou des grand-mères multiples ou originales (Grandma’s defense sculpture, A Walking Story). Ou alors ce sont des fragments ou bribes prélevées dans le quotidien le plus ordinaire (des chaussettes qui sèchent, un sourire à pleines dents, des mots saisis au vol, des fruits que l’on avale…) comme autant d’éclats du monde, qui font parfois retour d’une narration à l’autre, juxtaposés par un montage détonant, alerte et intuitif qui excite et bouleverse les rapports de sens.

Le FIDMarseille est heureux de consacrer pour la première fois un programme exclusivement constitué de ses films, facette protéiforme de son univers plastique, qui invite avec générosité, et souvent impertinence, à une relation sensible et physique aux choses et aux êtres, humains ou non (poulpes, poissons…)

Chaque programme est composé comme un bouquet possible, à partir de motifs et de couleurs qui traversent son travail.
Ils offrent en salle une immersion dans ses fantaisies troublantes et jubilatoires.


Et au hasard des autres séances du festival, peut-être rencontrerez-vous un de ces cinq films très brefs, cinq fusées dispersées dans le programme général, Stone Breasts (2010), Cat Kidstail Headphones (2010), A look here Cat (2010), A look here Lizzard (2010) ou bien Into All Shovel (2016) !

  • Focus Laure Prouvost
  • Focus Laure Prouvost

Programme 1 : Comme Unity

Laure Prouvost

durée totale : 53 min 34 s

  • Focus Laure Prouvost
  • Focus Laure Prouvost

Programme 2 : The Artiste

Laure Prouvost

Durée totale : 63 min 54 s

  • Focus Laure Prouvost
  • Focus Laure Prouvost

Programme 3 : Oma – Je

Laure Prouvost

Durée totale : 56 min 26 s

  • Focus Laure Prouvost
  • Focus Laure Prouvost

Programme 4 : Dit Peur

Laure Prouvost

Durée totale : 56 min 10 s

EXPOSITION

OUI WILL TAKE CARE OF YOU

LAURE PROUVOST

OUI WILL TAKE CARE OF YOU s’inscrit en dialogue avec Hear Here Herstories, programmation inédite en salle des films de Laure Prouvost, artiste internationalement reconnue dont les oeuvres se déploient le plus souvent en installation immersive combinant sculptures, images, objets, voire parfois des interventions directes sur l’architecture. Oui Will Take Care Of You, à l’instar des programmes élaborés en salle, est une proposition de montage de ses films, mais ici un montage ouvert à expérimenter dans l’espace à partir de ses narrations.

Les films réunis présentent un ensemble de gestes comme prendre, ramasser, partager, désigner, nommer, coller, pisser, regarder, être regardé·e. D’un film à l’autre, par effet de glissements, de décalages ou de renversements, Laure Prouvost joue ici avec l’histoire de l’art, que ce soit dans Looking at you looking at us avec la célèbre fontaine de Marcel Duchamp, ou dans I Need To Take Care Of My Conceptual Grandad avec John Latham, en un facétieux hommage à ses fameux gestes subversifs lorsqu’il s’était employé à considérer les livres comme matières première, à commencer par ces temples du savoir que sont les encyclopédies. Ailleurs, l’on s’attarde aux gestes d’attention au sein d’une communauté féminine et
multiple dans le monde faussement éthéré d’Above the claouds, ou à la vie matérielle vue selon une perspective inattendue dans Stong Story Vegetable. Last but not least, Into all Shovel offre une plongée abrupte loin de tout romantisme et évoque la rhétorique du cinéma expérimental au coeur d’un monde floral explosif.

Cette déambulation est une invitation à varier les rythmes, avec ses points d’arrêt, des moments plus hypnotiques ou au contraire laissant la place à une attention douce et flottante.

Looking at you looking at us (2018)
Above the claouds (2021)
I Need To Take Care Of My Conceptual Grandad (2010)
Stong Story Vegetable (2010)
Finger Point Green (2010)

SOMA, 55 cours Julien, Marseille 1er

Vernissage le mercredi 5 juillet 18h30

Performance de Tsar B : 5 juillet à 20h
Tsar B (Justine Bourgeus) est musicienne, chanteuse et compositrice. Elle réconcilie electro pop et musique classique et présente une création réalisée pour cette occasion.

Ouverture jusqu’au 23 juillet de 14h à 22h (horaires prolongés du 5 au 9 juillet).

Depuis 2020, SOMA lieu d’art hybride, a pour principale mission l’accueil d’artistes en résidence et l’organisation d’expositions, conférences, et concerts, en dialogue avec l’artiste résident·e.
 

MASTERCLASS

6 juillet à 16h30 - CINÉMA ARTPLEXE2

Ce temps privilégié de masterclass est une invitation à appréhender l’univers fantasque et les différentes pratiques de Laure Prouvost liées au film et à la vidéo qui nourrissent son travail.


Un moment de dialogue performatif plein de surprises avec Mathilde Roman, critique d’art, autrice de Nager avec Laure Prouvost (2022) et avec Martha Kirszenbaum, critique d’art et commissaire du Pavillon français lors de la 58è édition de la biennale de Venise (2019) qui a dirigé Deep See Blue Surrounding You-Vois ce bleu profond te fondre, édité à cette occasion.

RÉSERVATION EN LIGNE

HOMMAGE À PAUL VECCHIALI
ONCE MORE

Cinéaste, écrivain, critique, compositeur, producteur, acteur… Avec Paul Vecchiali s’est éteint en début d’année l’un des derniers grands cinéastes de sa génération. À la fois populaire et expérimentateur, amoureux du passé et inventeur de formes, il a su, en dessinant sa propre marge, œuvrer en plein cœur du cinéma. Des Ruses du Diable (1965) à Un soupçon d’amour (2020), Paul Vecchiali a cultivé avec un panache unique, pour lui-même et pour tous.tes celleux qu’il a porté.e.s, produit.e.s ou inspiré.e.s, la plus haute idée de la souveraineté artistique. Mais aussi le goût du risque et de la vitesse, l’indifférence au pouvoir. Parce que ces valeurs d’audace et de générosité, d’indépendance et de fidélité, sont celles que le FIDMarseille cultive chaque année, célébrer Paul Vecchiali et son héritage est pour nous l’évidence-même. Nous avions commencé à travailler avec lui à un programme de films qui réunit autour de lui ses ami.e.s et admirateur.rice.s et lui rendra le plus chaleureux des hommages. De son œuvre immense (plus de soixante-dix films), nous avons extrait sept joyaux. Du 4 au 9 juillet prochains, le cinéma et l’esprit de Paul Vecchiali seront vivants et vibrants, once more, parmi nous.

À l’occasion de cet hommage, le FIDMarseille publie Paul Vecchiali, once more, un ouvrage collectif consacré à l’ensemble de son œuvre, en coédition avec Les éditions de l’œil.

PAUL VECCHIALI. ONCE MORE Sous la direction de Cyril Neyrat, 192 p.

Avec des essais de Marie-Claude Treilhou, Marianne Dautrey, Pierre Creton, Camille Nevers, Hervé Joubert-Laurencin, un ensemble de textes inédits de Paul Vecchiali, un entretien avec trois de ses acteurs (Jean-Christophe Bouvet, Françoise Lebrun, Pascal Cervo), et une filmographie intégrale commentée par le cinéaste. Cliquez ici pour télécharger le dossier de presse.

VECCHIALI CORPS ET AMES par Damien Bertrand A quoi peut donc ressembler l’œuvre d’un cinéaste polytechnicien, cadet de la Nouvelle Vague, amoureux de mélodrames populaires français des années 30 et amateur de jeux de mots ? A un cinéma généreux dans ses émotions, libre de ses pensées, précis dans ses gestes. A une estrade où se produisent et se succèdent, dans un mouvement de tourniquet, les personnages généralement ignorés des écrans, ceux qui vivent et travaillent comme tout le monde ou, à l’inverse, pensent et aiment autrement. Dans ces microcosmes, on tue parfois, mais on aime, toujours. Pour peindre ses personnages et les dévoiler, Vecchiali n’a qu’un seul dogme : fuir autant l’académisme comme illusion de l’efficacité que l’effet de signature comme visa de la modernité. Son cinéma n’est pas fait de deux cerveaux distincts (le canal du sentiment le plus débridé et celui de l’analyse la plus clinique), mais d’un flux énergétique qui résulte du couplage de ces deux commandes. Chaque pulsion vers un nouveau film s’impose à lui avec la puissance de l’affect, mais les éléments qui le composent sont comme les termes d’une équation à chaque fois différente que sa mise en scène poserait de manière à en trouver la seule résolution possible. D’où une prégnance du rythme émotionnel interne, une surprenante multiplicité de vitesses, de surfaces, de tissus et de dimensions, une manière bien à lui de mailler la passion de la recherche et le goût du peuple. D’où aussi, par un équilibre subtil, toujours fragile, la propension de son cinéma à embrasser dans un même mouvement l’audace et le contrôle, et à servir – c’est au choix sa plus grande humilité ou sa prétention la plus folle – le mélodrame plus qu’à l’utiliser. L’écriture filmique y est moins considérée comme un bagage, un acquis, que comme un outil qui se doit, à chaque instant, de diversifier les approches pour conserver son pouvoir de révélation. De faire dialectique. Dans ce règne sans partage de l’élément singulier, les correspondances entre les films, pourtant, abondent, attestant de leur richesse, et le chemin de découverte dessiné par sa filmographie révèle une succession de quatre temps, mouvements successifs d’un concerto dont cette rétrospective dévoile les grands motifs : l’impossible étendue du plan séquence à la durée d’un film, la bataille navale des sentiments, et, dans la deuxième moitié de l’œuvre, la première personne du singulier, le cinéaste qui vient, corps et âme, habiter ses films, pour s’imaginer en mari et père (ce qu’il n’a jamais été), rappelant qu’il s’agit, au cinéma autant que dans la vie, de faire famille. Les films de Vecchiali sont autant de missives. Pourquoi les a-t-il filmées plutôt qu’écrites ? « Parce que les gens que j’aime sont près de moi.   Ou loin.   Ou morts »
  • Hommage Paul Vecchiali
  • Hommage Paul Vecchiali

EN HAUT DES MARCHES

Paul Vecchiali

France / 1983 / 93’

  • Hommage Paul Vecchiali
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FEMMES FEMMES

Paul Vecchiali

France / 1974 / 115’

  • Hommage Paul Vecchiali
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LA MACHINE

Paul Vecchiali

France / 1977 / 100’

  • Hommage Paul Vecchiali
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LETTRE D’UN CINÉASTE

Paul Vecchiali

France / 1983 / 13’

  • Hommage Paul Vecchiali
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ONCE MORE

Paul Vecchiali

France / 1988 / 87’

  • Hommage Paul Vecchiali
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TROUS DE MÉMOIRE

Paul Vecchiali

France / 1984 / 120’

  • Hommage Paul Vecchiali
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UN SOUPÇON D’AMOUR

Paul Vecchiali

France / 2020 / 90’

En partenariat avec Studio Fotokino

Tous les ans, le FIDMarseille invite Fotokino à imaginer une programmation de films de patrimoine ou récents accessible aux plus jeunes, pour les initier à une pluralité d’expressions cinématographiques.

Pour la 34ème édition du festival, enfants et adultes seront tout autant séduits par le récit et la technique virtuose de La Traversée de Florence Miailhe, que par une programmation dédiée à l’inimitable acrobate du cinématographe, Buster Keaton. Ce clin d’œil à Paul Vecchiali, auquel le FID rend hommage cette année (il adorait Keaton), est doublé de la participation du duo musical Catherine Vincent, ses compagnons de route, qui mettront en musique et chansons un court-métrage en ouverture de séance.

  • Écran tout public
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L’ÉPOUVANTAIL

THE SCARECROW

Buster Keaton

États-Unis / 1920 / 19’

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LA TRAVERSÉE

Florence Miailhe

France, République Tchèque, Allemagne / 2020 / 84’

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LINDA VEUT DU POULET !

Chiara Malta,

Sébastien Laudenbach

France | 2023 | 73’

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SHERLOCK JR.

Buster Keaton

États-Unis / 1924 / 50’

  • Séances Spéciales
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A MORTE DE UMA CIDADE

DEATH OF THE CITY

João Rosas

Portugal / 2022 / 116’

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DISTURBED EARTH

Kumjana Novakova,

Guillermo Carreras-Candi

Espagne, Bosnie-Herzégovine, Macédoine du Nord / 2021 / 72’

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PETER PAN

Natacha Samuel,

Florent Klockenbring

France / 2023 / 108’

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PHANTOM BEIRUT

BEYROUTH FANTÔME

Ghassan Salhab

France, Liban / 1998 / 116’

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UNE LONGUE DISTANCE, WORK-IN-PROGRESS

Guillaume Lillo