Attribué par le Jury de la Compétition Internationale.
Montant : 8000€ et un billet Air France long courrier à réserver avant le 31 décembre 2022.
Attribué à un film de la Compétition Internationale.
Le prix est doté en nature par la société Vidéo de poche pour un montant de 7000€ en post-production.
Chantal de Beauregard a créé en 1985 le Prix Georges de Beauregard dédié à la mémoire de son père le producteur Georges de Beauregard. Elle s’est ensuite tournée vers une mémorisation plus pérenne et plus ciblée et a choisi de l’intégrer au FID, Marseille étant le lieu de naissance de Georges de Beauregard et sa famille maternelle. Le FID a donc initié en 2001 le prix Georges de Beauregard.
Né dans le quartier Saint Jérôme à Marseille, Georges de Beauregard a produit des courts, des moyens et des longs métrages, certains pouvant être considérés comme des «documents de l’histoire et du temps» tels «La passe du diable» d’après l’oeuvre de Jean Pierre Kessel tourné en 1957 en Afghanistan, premier long métrage de Pierre Schoendorffer, «Le petit soldat» de Jean Luc Godard sur la guerre d’Algérie (1960) ou encore des films tels que «A bout de Souffle», «Cléo de 5 à 7» et «Pierrot le fou».
Attribué par le Jury de la Compétition Internationale.
Montant : 8000 € et un billet Air France long courrier.
Attribué à un film de la Compétition Internationale.
Le prix est doté en nature par la société Vidéo de poche pour un montant de 7000€ en post-production.
Chantal de Beauregard a créé en 1985 le Prix Georges de Beauregard dédié à la mémoire de son père le producteur Georges de Beauregard. Elle s’est ensuite tournée vers une mémorisation plus pérenne et plus ciblée et a choisi de l’intégrer au FID, Marseille étant le lieu de naissance de Georges de Beauregard et sa famille maternelle. Le FID a donc initié en 2001 le prix Georges de Beauregard.
Né dans le quartier Saint Jérôme à Marseille, Georges de Beauregard a produit des courts, des moyens et des longs métrages, certains pouvant être considérés comme des «documents de l’histoire et du temps» tels «La passe du diable» d’après l’oeuvre de Jean Pierre Kessel tourné en 1957 en Afghanistan, premier long métrage de Pierre Schoendorffer, «Le petit soldat» de Jean Luc Godard sur la guerre d’Algérie (1960) ou encore des films tels que «A bout de Souffle», «Cléo de 5 à 7» et «Pierrot le fou».
Attribué par le Jury de la Compétition Française.
Montant : 5000€
Attribué à un film de la Compétition Française.
Le prix est doté en nature par la société Vidéo de poche pour un montant de 7000€ en post-production.
Chantal de Beauregard a créé en 1985 le Prix Georges de Beauregard dédié à la mémoire de son père le producteur Georges de Beauregard. Elle s’est ensuite tournée vers une mémorisation plus pérenne et plus ciblée et a choisi de l’intégrer au FID, Marseille étant le lieu de naissance de Georges de Beauregard et sa famille maternelle. Le FID a donc initié en 2001 le prix Georges de Beauregard.
Né dans le quartier Saint Jérôme à Marseille, Georges de Beauregard a produit des courts, des moyens et des longs métrages, certains pouvant être considérés comme des «documents de l’histoire et du temps» tels «La passe du diable» d’après l’oeuvre de Jean Pierre Kessel tourné en 1957 en Afghanistan, premier long métrage de Pierre Schoendorffer, «Le petit soldat» de Jean Luc Godard sur la guerre d’Algérie (1960) ou encore des films tels que «A bout de Souffle», «Cléo de 5 à 7» et «Pierrot le fou».
Attribué par le Jury de la Compétition Française.
Montant : 5000€
Attribué à un film de la Compétition Française.
Le prix est doté en nature par la société Vidéo de poche pour un montant de 7000€ en post-production.
Chantal de Beauregard a créé en 1985 le Prix Georges de Beauregard dédié à la mémoire de son père le producteur Georges de Beauregard. Elle s’est ensuite tournée vers une mémorisation plus pérenne et plus ciblée et a choisi de l’intégrer au FID, Marseille étant le lieu de naissance de Georges de Beauregard et sa famille maternelle. Le FID a donc initié en 2001 le prix Georges de Beauregard.
Né dans le quartier Saint Jérôme à Marseille, Georges de Beauregard a produit des courts, des moyens et des longs métrages, certains pouvant être considérés comme des «documents de l’histoire et du temps» tels «La passe du diable» d’après l’oeuvre de Jean Pierre Kessel tourné en 1957 en Afghanistan, premier long métrage de Pierre Schoendorffer, «Le petit soldat» de Jean Luc Godard sur la guerre d’Algérie (1960) ou encore des films tels que «A bout de Souffle», «Cléo de 5 à 7» et «Pierrot le fou».
Attribué par le jury du Prix Premier à un premier film présent dans la Compétition Premier.
Le prix est doté par la Région Sud Provence-Alpes-Côte-d’Azur pour un montant de 3000€.
Attribué par le jury du Prix Premier à un premier film présent dans la Compétition Premier.
Le prix est doté par la Région Sud Provence-Alpes-Côte-d’Azur pour un montant de 3000€.
Attribué par le jury Cnap à un film présent dans la Compétition Internationale, Française, Premier, Flash, ou GNCR.L’attention du jury se portera sur la dimension expérimentale ou le caractère innovant dans la conception, la force réflexive et les capacités du film à questionner le monde et sa représentation.
Le prix est doté par le Cnap pour un montant de 4000€.
Composé de trois exploitants de salles du réseau GNCR.
Paul-Serge Miara, Cinéma Les Variétés – Veynes,
Guy-Claude Marie, Cinéma Jean Jaurès – Argelès-sur-mer,
Delphine Camolli, Cinémas du sud & Tilt – Marseille
Attribué par le Jury de la Compétition Flash.
Montant : 2000€
Alice Guy est le nom de la première cinéaste au monde, oubliée malgré une carrière prestigieuse et foisonnante. Créé à sa mémoire en 2018, le Prix Alice Guy a vocation à valoriser le travail des réalisatrices en récompensant un long métrage de l’une d’entre elles. Le Prix Alice Guy du FID, initié en 2020, sera attribué par le jury Flash au film d’une réalisatrice présente au sein de la Compétition Flash.
Prix doté par le Ministère de la Culture pour un montant de 1500€
Attribué par le Jury de la Compétition GNCR.
Prix est doté par le GNCR dans le cadre d’un soutien à la distribution : dotation financière et édition par le GNCR d’un document et programmation du film dans les salles du Groupement.
Avec l’accord et le soutien de la Direction interrégionale des Services Pénitentiaires PACA–Corse, du Centre Pénitentiaire de Marseille et du CNC, l’association Lieux Fictifs, le Master « Métiers du film documentaire » de l’université Aix-Marseille et le FIDMarseille mènent ensemble une action pour faire résonner dans une même temporalité, au centre pénitentiaire de Marseille Les Baumettes, l’événement du festival.
Une sélection d’une dizaine de films en compétition sera présentée à un public de personnes détenues et volontaires. Les personnes détenues qui auront pu suivre la programmation dans son ensemble pourront, si elles le désirent, se constituer membres du jury, et exercer leur arbitrage à l’occasion de la nomination d’un lauréat. Chaque film sera accompagné et présenté par des étudiants de l’université d’Aix-Marseille et par les réalisateurs dans la mesure du possible.
Le Prix est doté par le CNC dans le cadre d’un achat de droits pour le catalogue Images de la Culture. d’une valeur de 5000€.
Renaud Victor (1946-1991) Cinéaste et acteur, il mène un long travail sur l’autisme auprès de Fernand Deligny et réalise «Ce gamin là» (1975), «Fernand Deligny, a propos d’un film à faire»(1989). Son dernier film «De jour comme de nuit» (1991) est une immersion pendant deux ans dans la vie quotidienne de la prison des Baumettes.
Joseph Cesarini et Caroline Caccavale (réalisateurs/ fondateurs de Lieux Fictifs) collaborent à la réalisation de ce film. Leur rencontre avec Renaud Victor sera déterminante dans l’action qu’ils engageront sur l’image en prison au Centre Pénitentiaire de Marseille.
Le Prix est doté par le CNC dans le cadre d’un achat de droits pour le catalogue Images de la Culture. d’une valeur de 5000€.
Renaud Victor (1946-1991) Cinéaste et acteur, il mène un long travail sur l’autisme auprès de Fernand Deligny et réalise «Ce gamin là» (1975), «Fernand Deligny, a propos d’un film à faire»(1989). Son dernier film «De jour comme de nuit» (1991) est une immersion pendant deux ans dans la vie quotidienne de la prison des Baumettes.
Joseph Cesarini et Caroline Caccavale (réalisateurs/ fondateurs de Lieux Fictifs) collaborent à la réalisation de ce film. Leur rencontre avec Renaud Victor sera déterminante dans l’action qu’ils engageront sur l’image en prison au Centre Pénitentiaire de Marseille.
Composé d’élèves de l’École de la Deuxième Chance de Marseille.
Ermelindo Fortes Ferreira, Lavinia de Fatima, Brito Varela, Lalimi Kaouther, Alex Chaillan, Omayma Mechri
Le Prix est doté par le CNC dans le cadre d’un achat de droits pour le catalogue Images de la Culture. d’une valeur de 5000€.
Renaud Victor (1946-1991) Cinéaste et acteur, il mène un long travail sur l’autisme auprès de Fernand Deligny et réalise «Ce gamin là» (1975), «Fernand Deligny, a propos d’un film à faire»(1989). Son dernier film «De jour comme de nuit» (1991) est une immersion pendant deux ans dans la vie quotidienne de la prison des Baumettes.
Joseph Cesarini et Caroline Caccavale (réalisateurs/ fondateurs de Lieux Fictifs) collaborent à la réalisation de ce film. Leur rencontre avec Renaud Victor sera déterminante dans l’action qu’ils engageront sur l’image en prison au Centre Pénitentiaire de Marseille.
Composé de 17 lycéens de différents lycées de Marseille et de l’Académie d’Aix-Marseille et de 3 lycéens venues de Hanovre en Allemagne, dans le cadre d’un partenariat académique.
Lycée Notre Dame de Sion : Maryam Rajab, Myriam Ben Nasr
Lycée Pierre Mendes-France : Cybellia Rouyer, Marion Barsamian
Lycée Saint-Charles UPE2A : Gérald Aliko, Lyna Mekerba, Mohammed Aroudj
Lycée Georges Duby (Luynes) : Paul Olivia, Léo Jourdan
Lycée Nelson Mandela : Dimitri Vernet, Garane Quemeneur, Ilona Governale, Tim Blaie
Lycée Antonin Artaud : Esteban Chatzopoulos Lycée Lacordaire : Guillaume Cristiani
Lycée Victor Hugo : Shannone Attal
Lycée Vauvenargues (Aix-en-Provence) : Lou Cacciarella
Le Prix est doté par le CNC dans le cadre d’un achat de droits pour le catalogue Images de la Culture. d’une valeur de 5000€.
Renaud Victor (1946-1991) Cinéaste et acteur, il mène un long travail sur l’autisme auprès de Fernand Deligny et réalise «Ce gamin là» (1975), «Fernand Deligny, a propos d’un film à faire»(1989). Son dernier film «De jour comme de nuit» (1991) est une immersion pendant deux ans dans la vie quotidienne de la prison des Baumettes.
Joseph Cesarini et Caroline Caccavale (réalisateurs/ fondateurs de Lieux Fictifs) collaborent à la réalisation de ce film. Leur rencontre avec Renaud Victor sera déterminante dans l’action qu’ils engageront sur l’image en prison au Centre Pénitentiaire de Marseille.